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La Presse en parle...
Jacques ROUX de MIDI LIBRE, dans son article du 21 Juillet 1991 intitulé « Mozart honoré par le chœur et l’orchestre de Lozère », exprime à propos des Nuits Musicales d’Uzès
… Mozart dont on fête – bien à propos pour Uzès – le bicentenaire de la mort fut effectivement honoré par la remarquable prestation de l’ensemble dirigé par Marie-Claude CHEVALIER.
Qu’on ne s’y trompe pas, l’Orchestre de Lozère constitué de musiciens issus du Conservatoire national supérieur de Paris et des écoles nationales de musique, tient avec ces deux jeunes artistes le « top niveau ». Florence DUME, médaille d’or de violon de l’école nationale d’Aulnay donne des concerts en soliste en France, comme à l’étranger, depuis l’âge de 14 ans. Elle est, depuis 2 ans, violon solo de l’orchestre de Bretagne.
Denis DERCOURT est actuellement membre de l’orchestre symphonique français et poursuit une activité de soliste qui l’a amené à sa produire dans des lieux aussi divers que le Carnegie Hall de New York ou la radio nationale d’Angola. Leur prestation n’est donc pas un hasard !
Après une pause rafraichissante, le Requiem était attendu avec une impatience que la première partie avait avivée… Marie-Claude CHEVALIER se lança dans cette œuvre avec fougue, vigilance et passion, mais toujours élégante et souriante. L’ensemble très cohérent répondit à sa direction et installa le public dès le premier Requiem-Kyrié, celui entièrement attribué à Mozart, dans une sorte d’envoûtement. Le deuxième mouvement « Dies Irae » fut la première occasion de découvrir les solistes : Josiane Houpiez-Bainvel (soprano) ; Claudine Jambet-Pages (mezzo-soprano) ; Patrick Garayt (ténor) et Yves Cauchois (basse).
C’était gagné et même terminé avec l’impression que le temps s’était arrêté et que cette intense émotion qui s’était installée en nous appartenait à l’irréel. Le « Cum Sanctus » repris parce que près de 1 000 personnes enthousiastes multipliaient les rappels, permit de revenir sur terre : le rêve était terminé et les sourires qui égayaient les visages des musiciens « lozèriens » étaient justifiés. Ils avaient remarquablement servi Mozart et ce XXIe festival qui débute sous les meilleurs auspices !
Selon un article de MIDI LIBRE du 25 juillet 1991, sur le concert à Anduze, au Temple du Plan-de-Brie :
… L’orchestre de Lozère fit sonner, face à un auditoire important, la « Symphonie concertante » pour violon et alto de Mozart. Les deux solistes, Florence DUME, violon, et Denis DERCOURT, alto, interprétèrent avec finesse cette œuvre illustre.
… Le quatuor de solistes : Josiane Houpiez, soprano, Claudine Jambert, alto, Patrick Garayt, ténor, et Yves Cauchois, basse, exacerba les sensibilités… Une salve d’applaudissements se fit entendre de la part d’un auditoire sous le charme, qui congratula tour à tour solistes, chœurs et orchestre, ainsi que l’âme de cette manifestation… leur chef, Madame Marie-Claude CHEVALIER.
Assurément un concert marquant de la saison culturelle anduzienne.
Sur l’Ensemble vocal « Musica cum canto » et l’Orchestre de chambre de Lozère, à Carcassonne, MIDI LIBRE, tire le 2 août 1992 « Des Mélodies d’un autre temps » :
… Chacun pourra apprécier le travail exceptionnel de ces deux formations qui, depuis leur création en 1989, œuvrent pour la redécouverte du patrimoine musical français du XVIIe et XVIIIe siècles. Ainsi, Marie-Claude CHEVALIER nous proposera-t-elle de découvrir la musique de Michel Richard Delalande (Te Deum), successeur de Lullyà
la Surintendance de la musique royale, auprès de Louis XIV à Versailles. Ce compositeur, souvent qualifié de « Bossuet de la musique française », domina en son temps la production de musique sacrée, et saura, sans nul doute, ce lundi 3 août, nous émerveiller par ses mélodies, à la fois sobres, puissantes et libres. Préalablement au Te Deum de Delalande, nous aurons le plaisir d’écouter quelques pièces de Vivaldi…
QUAND
LA PRESSE EN PARLE…
A propos de l’enregistrement du De Profundis de Michel-Richard DELALANDE, Alain DUAULT écrit, dans l'EVENEMENT du Jeudi 23 Mars 1989 :
« Depuis la disparition du catalogue de la version Corboz, on ne disposait plus d’aucune version du chef-d’œuvre de Michel-Richard Delalande, compositeur français du XVIIème siècle aujourd’hui trop oublié. Le chœur d’entrée de ce De Profundis, avec ce beau récit de basse qui donne la couleur de l’œuvre, situe d’emblée cette musique à son haut niveau de concentration et d’expression spirituelle.
Interprété avec beaucoup de ferveur et une tension très homogène par l’Ensemble Vocal et Instrumental RES FACTA sous la direction de Marie-Claude CHEVALIER, ce De Profundis devrait contribuer à la renaissance d’un intérêt pour Delalande. On peut en tout cas l’espérer. A.D. »
Et on pouvait lire dans la SELECTION DU FIGAROSCOPE :
« Delalande De Profundis. L’Ensemble RES FACTA, sous la direction de Marie-Claude CHEVALIER, a su faire la part entre authenticité et solennité. Devant ce chef-d’œuvre, le seul choix est celui de la ferveur. »
A la suite du concert donné à NIMES en décembre 1997, dans le cadre du FESTIVAL D’AUTOMNE (au programme : Rhapsodie pour contralto et chœur d’hommes de BRAHMS, Musique funèbre maçonnique, Messe du Couronnement et Vêpres solennelles d’un confesseur de MOZART, le MIDI LIBRE publiait :
« … En proposant, à l’occasion du concert de clôture du 17ème Automne musical trois partitions du maître de Salzbourg, les responsables de l’annuelle manifestation musicale départementale avaient, de toute évidence, souhaité que l’ultime rendez-vous de l’année soit à la hauteur de l’élévation des œuvres choisies. En faisant appel à Marie-Claude CHEVALIER pour diriger ces pièce (ainsi que la Rhapsodie pour contralto et chœur d’hommes de Brahms), à la phalange vocale Louis Martini et à l’ensemble vocal et instrumental RES FACTA, en invitant quatre solistes de renom international, l’Automne Musical ne pouvait que se situer au niveau et à l’exigence atteints depuis de nombreuses saisons. L’exemple de l’après-midi de dimanche à l’église Sainte-Perpétue n’est qu’une confirmation de plus. Ouvert par la Musique Funèbre maçonnique, le concert réunissait pourtant deux œuvres qui, par leur difficulté d’exécution, les impératifs réclamés et le permanent équilibre de chaque plan sonore, constituent des critères de qualité difficilement escamotables. Si l’acoustique du lieu ne permet pas au mélomane de faire des comparaisons avec d’illustres versions de référence, la précision, le style, la rigueur et la souveraine musicalité des interprètes n’ont pu échapper à l’auditeur de ce « rideau » de la saison. Instrumentalistes, messe chorale et quatuor vocal ont su rendre à Mozart toute sa sublime lumière. Avec les superbes phrases des « Vêpres solennelles du confesseur » « où le timbre clair et le magnifique phrasé de la soprano tchèque Lenka Skornichova avaient toute la transparence souhaitée) et la solide exécution de la «Messe du Couronnement » (rendant, cette fois encore, les voix féminines particulièrement présentes, radieuses et limpides), le genre mozartien a éclairé ce dimanche d’hiver. Avec une couleur et des rayons dont le raffinement musical n’est pas prêt de s’estomper. » Roland M.
ARTICLE MIDI LIBRE DU 30 MAI 2006 : CLERMONT LHERAULT
CHOEUR LENSEMBLE VOCAL RES FACTA A EBLOUI LE PUBLIC
Le public, par cette magnifique interprétation et par cette bouffée despérance redonnée par loeuvre de HAENDEL, a applaudi et rendu un vibrant hommage aux artistes. Par leur brillante prestation, ils ont su émouvoir lassistance, suspendue à leurs voix et à leurs instruments. Marie-Claude CHEVALIER a dirigé lensemble avec brio. Pour clôturer la soirée, Marie-Claude CHEVALIER offre en bis Le Grand Alléluia.
LA GAZETTE JANVIER 2007 :
"LE ROI DAVID", de Honegger, dirigé par Marie-Claude CHEVALIER, dans le cadre de lAutomne Musical. "Je suis très fière davoir participé à ce spectacle, dans lequel jétais récitante, pour le rôle de Pythonisse, la sorcière. Je suis admirative quune femme dirige un tel orchestre, avec 120 choristes. cest grandiose.".
MIDI LIBRE 29 FEVRIER 2008 :
A CAVEIRAC : LENSEMBLE POLYPHONIQUE ET SINFONIETTA ETAIT AU DOLLIUM
Marie-Claude CHEVALIER a mené dune baguette ferme ces deux ensembles. Jean-Claude RELAVE a su souffler le charme et la difficulté de la Suite pour trompette de HAENDEL. David DUSSAUD et Norbert Jésus PIRES ont porté au sommet de la perfection le Concerto pour deux violons de BACH : un moment magique.
Après lentracte, lensemble polyphonique, composé de soixante choristes, a pris place derrière lorchestre afin dinterpréter le Lauda Jerusalem et le Gloria, laissant la musique envahir les lieux, les spectateurs saisis par linterprétation. Les applaudissements retentirent il y eut un rappel sur le Gloria, ce qui termina cette merveilleuse soirée.